Decouvertes

Pendant des siècles, les populations berbères du sud-ouest du Maroc ont utilisé des hydrocarbures provenant d'un arbre endémique à la région comme un aliment de base et dans les remèdes traditionnels.

Lorsqu’on arrive à Essaouira, cité blanche sur fond de toile bleue, l’impression de magie, de calme envoûtant qui domine a certainement contribué au développement spontané de l’Art.

La connaissance de la métallurgie est une étape importante dans l’histoire des sociétés. Les premières traces écrites faisant mention du mot «fer» datent d’environ 1800 ans avant JC. Le Maroc ne tarde pas à découvrir le fer

Dans la région de Taza, se fredonnait une chanson: «les femmes de la montagne arrivent au souk et leurs bijoux tintent à chaque pas »! Simple ornement ou protection? Véritable attrait du tourisme à Essaouira, l'artisanat Mogador renferme de nombreux secrets..

Un petit coup de projecteur sur la médina d'Essaouira Mogador qui célèbrera l'année prochaine les dix ans de son classement au Patrimoine mondial de l'Unesco. Élément phare du tourisme lors de votre sejour à Essaouira, la visite de la médina de Mogador est un moment de détente mais aussi de découverte de la culture d'Essaouira.

Les Gnaouas sont les descendants d'anciens esclaves originaires d'Afrique sub-saharienne. Rencontre avec l'histoire d'un peuple d'Essaouira et d'une musique traditionnelle du Mogador qui sont devenu de véritable ambassadeur d'Essaouira et du Mogador.

Histoire Essaouira:Le 11 janvier 1944, 67 Marocains ont signé un manifeste public revendiquant l'arrêt de la colonisation française et l'indépendance du Maroc.

Histoire Essaouira : Crée face aux remparts par un juif nommé M. Kakon, le cinéma Scala fait partie des deux cinémas dont dispose la ville d’Essaouira, et qui étaient à un certains temps, les deux petits bijoux de la cité des Mogadors. Ces deux cinémas, Cinéma Scala et cinéma Rif, ont fait les souvenirs d’enfance de toute une génération.

Suite au colloque Anthropologie qui a lieu à Essaouira, un hommage a été rendu à Georges Lapassade qui a fait beaucoup pour la reconnaissance de l’art et la musique gnaoua.

C’est une balade virtuelle sur le site « Rivages d’Essaouira », de l’écrivain ethnologue, Abdelkader Mana, qui m’a donné l’envie de revoir le CAP SIM, si bien décrit par l’enfant du pays.